La vie est parfois surprenante.

On change tous, nos idéaux changent pour d'autres, tout comme nos convictions ou nos principes. Je croyais qu'une fois avoir réglé le principal soucis qui me malmenait l'esprit, je dormirai mieux, je serai apaisée.

C'est faux. Alors est-ce que je suis malade? Dès que je règle ce qui me semble prioritaire, mes anciennes peines remontent à la surface et me bouffent à en pleurer. Peut-être que c'est le manque d'occupations? Quand j'ai quelque chose dont dépend ma carrière à faire, je n'ai plus mal, je suis juste stréssée et investie pour ne pas "tomber plus bas". Mais ça y est, je suis passée et là "vlan" tous les autres soucis, de coeur, d'esprit, d'amitié ..tout revient d'un coup et je n'ai plus qu'une envie: hurler à tout le monde d'aller se faire foutre. Mais à quoi bon, il n'y a personne pour m'entendre.

A part ce blog que j'avais oublié. Merci de toujours exister pour me permettre de me défouler autrement que par les larmes.